J’avoue, je suis allée le voir la mort dans l’âme.
1) Le sujet – la Stasi, à savoir la police politique en RDA- n’avait a priori rien de folichon
2) Hors Paris, le seul cinéma pas trop loin de chez moi à le diffuser n’avait aucun tarif étudiant. 10 euros pour un film qui ne passe qu’en VO, j’ai ronchonné, honte sur moi.
3) Tu y vas en souriant, toi, voir un film imposé par ta prof d’allemand un jour de vacances ?
La vie des autres Bande annonce par Hisaux
Je suis sortie du cinéma en reniflant et les yeux rougis (j’avais l’air futée!), demandant mentalement pardon à ma prof d’allemand (n’empêche, j’ai toujours les 10 euros en travers. L’a intérêt à me mettre une bonne note ou à me rembourser, arf). La vie des autres est le genre de film que l’on ne voit que flou du début à la fin, les yeux brouillés par les larmes. Puis l’on se prend à vouloir réécouter la bande originale du film par Gabriel Yared, toute en émotions, particulièrement la Sonate de l’homme bon (Sonate vom guten Menschen, en allemand). Enfin on se demande pourquoi les réalisateurs en rajoutent des tonnes dans les films d’horreur, quand la réalité suffit à vous glacer le sang.
3 commentaires
je compatie fortement a tes malheurs … bon, contrairement a toi, j’avais envie de voir ce film pcq on m’en avait parlé… mais g fini en larmes, et tt le md s’est fichu de ma tete! 🙂
Pas vu mais en fait j’ai trouvé l’affiche française très mal faite… on avait plus l’impression qu’il s’agissait d’une histoire de coucherie banale que d’un film historique…
Sinon pour Odette Toulemonde, tu n’as pas raté grand chose, personnellement je me suis un peu ennuyée…
[…] nous méprenons pas : j’ai adoré Goodbye Lenin, j’ai été bouleversée par La vie des autres, Die Welle est un film particulièrement intelligent, sans parler d’autres films-sentinelles […]