Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un copain bédéphile et canarovore (tremblez, volailles de tous fermages!). Donc il est fortement possible que vous soyez passé à côté d’une « couillonade hébraïque » (sic) dotée d’une préface de Pierre Desproges.
Je pourrais m’arrêter là, vous auriez déjà une idée de l’humour ravageur de La Bible selon Loup. L’auteur, lui, a décrété qu’après un tome, le déluge, et c’est là où il s’est arrêté. Sur la Bédéthèque, ils appellent ça un « one-shot » (car je suis allée vérifier, persuadée que j’étais que le canarovore précité me privait de la suite rien que pour m’embêter).
Au moins, si ça ne vous plaît pas, vous ne viendrez pas vous plaindre que vous avez claqué un fric monstre en achetant toute la série!
PS : j’ai eu un mal fou à ne pas écrire « ami lecteur ». Comme dirait l’autre « on n’a pas gardé les Ecritures ensemble »!